« La négociation idéale est souvent présentée comme une discussion constructive, nourrie par une volonté mutuelle de co-création bienveillante. Comme si on parlait d’échanges amicaux sans frottements dans un univers théorique « pur et parfait », comme disent les économistes. La réalité est pourtant différente. Dans une négociation, qu’on le veuille ou non, il y a en général une partie qui est plus « forte » que l’autre et qui n’hésitera pas à utiliser cette domination dans le rapport de force. »
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